Chevaux et confort intestinal, le casse-tête du cavalier
Les problèmes gastriques et intestinaux sont monnaie courante chez les chevaux. Parfois in-détectés, ils sont pourtant la cause de nombreux symptômes. Des solutions existes, même si le bon sens et l’écoute sont de rigueur. Dominique Cholat, fondateur et gérant du laboratoire d’Alliance Equine, nous parle de ce mal répandu dans le milieu équestre.
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Le cheval dispose d’un appareil digestif peu adapté à sa morphologie. Les problèmes gastriques, intestinaux et digestifs font donc partie des premières problématiques du cheval. Dominique Cholat nous explique : « On peut rencontrer des ulcères, des érosions de l’estomac, des remontées gastriques… mais aussi des problèmes hépatiques. » Une autre partie peut être touchée : la flore intestinale.
Comment le détecter ?
Cela arrive notamment à cause de certains traitements médicamenteux, mais peut aussi être lié à l’alimentation, au transport, au travail du cheval... De nombreux facteurs font que celui-ci est très sujet à ces problèmes digestifs. Il est alors important de se poser les bonnes questions. Est-ce que mon cheval mange bien ? Est-ce qu’il montre des signes de stress ? Est-ce qu’il se défend fortement au travail ? « Ces questions vont faire qu’on arrive à déterminer plus ou moins quel est le problème. On distingue les problèmes gastriques, des hépatiques et des intestinaux. Par exemple un cheval qui engorge peut venir d’un problème hépatique. Un cheval avec un poil terne, abimé, peut venir d’un problème gastrique… Nous avons donc aussi un rôle d’accompagnement, pour aider à comprendre les symptômes. On va éliminer les différentes possibilités une par une pour éviter de donner trop de produits différents sans être surs de leur efficacité. »
Que faire ?
Le premier examen vétérinaire a effectuer est la gastroscopie. C’est, selon le spécialiste, la seule façon de déterminer de façon certaine si le cheval présente des ulcères. Quelques points sont importants pour pallier à ces pathologies. Il faut notamment privilégier le plus de sorties possible en extérieur (important pour le moral, pour le stress mais aussi pour le système du cheval en général). « Le cavalier doit lui apporter un maximum de plein air, idéalement avec des congénères. Il faut aussi évidemment faire attention aux transports, pour ne pas provoquer d’angoisses, et lui apporter une nourriture saine et riche en fibres. »
Les produits
Dominique raconte : « Quand on rencontre un problème gastrique, on commence par un produit pour traiter l’estomac. Le but premier est de mener le cheval rapidement dans le confort et le bien être. Cela peut permettre de le soulager car il aura moins de stress. En général, le vétérinaire commence par prescrire du Gastrogard. Les propriétaires effectuent donc souvent une cure de celui-ci, puis cherchent un produit de confort. » C’est alors que le Gastri’Max d’Alliance Equine intervient. A base de plantes et de substances aromatiques fabriquées au laboratoire, il se présente sous forme liquide ou en granulés. Le format liquide s’administre en cure de 40 jours. Dominique explique : « Nous avons étudié l’efficacité du produit avec des vétérinaires. En effectuant des gastroscopies, nous avons observé que sur les érosions de l’estomac et les ulcères de stade 2, il faut 40 jours d’administration pour que le Gastri’Max soit efficace. » Pour assurer un confort gastrique pérenne, on peut ensuite se tourner vers les granulés, comme accompagnement de fond.
💡 L’astuce de Dominique : « Quand on traite l’estomac, la flore intestinale redouble souvent d’efforts pour compenser, et peut s’altérer. Il est donc important de penser à coupler le traitement avec un soutien de la flore. »
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Mathilde Jager pour Rylife